Comment payer moins cher pour vos déplacements en Taxi ?

A côté des transports en commun, les taxis aident grandement ceux qui ne disposent pas de voitures dans leur déplacement. En effet, contrairement aux transports publics, prendre un taxi, c’est bénéficier d’une prestation personnalisée. Il vous suffit d’arrêter un taxi et celui -ci vous prend. Vous choisissez l’itinéraire pour arriver à l’endroit voulu. Les taxis pour certains en revanche propose des prestations élevées. Avec les conseils suivants en revanche, vous pourrez payer moins cher vos déplacements en taxi.

Payez moins cher avec le taxi partagé

Pour bénéficier des prestations d’un taxi, sans pour autant dépenser beaucoup d’argent, il existe des solutions. La première qui vient à l’esprit est le taxi partagé. En effet, comme les personnes qui voyagent avec vous participent au paiement de la course, cela revient moins cher que si vous avez été le seul passager du taxi. Le tout est de trouver des personnes qui font tout ou une partie de votre trajet. Dans la plupart des cas, les taxis partagés sont affectés à des trajets précis comme le trajet partant d’un aéroport ou à une destination de celui-ci par exemple.

Prendre si possible un taxi en heures creuses

Avec le trafic grandissant dans les grandes agglomérations, il est fréquent de se faire prendre dans un embouteillage. Le problème est que si vous vous trouvez dans un taxi, vous risquez de voir vos tarifs exploser. Plus implicitement, le taxi ne se déplace pas lorsqu’il est pris dans un embouteillage mais le compteur ne s’arrête pas. Ainsi, au tarif normal du trajet, s’ajoutent les frais comptés lors de l’arrêt du véhicule, qui au final, vous feront dépenser beaucoup plus. Par conséquent, pour se déplacer moins cher en taxi, il faut essayer si possible de circuler durant les heures creuses.

Contactez une compagnie de taxi low cost

Comme son nom l’indique, le taxi low cost propose les mêmes prestations qu’un taxi traditionnel mais à un prix plus abordable. Pour ce faire, le taxi low cost suggère au client de partager la course avec un autre passager. Dans le cas d’un aller-retour, le taxi low cost pourra éventuellement tarifier le trajet de retour à un prix moindre. Bref, avec un taxi low cost, vous êtes toujours sûr de bénéficier des tarifs bradés en permanence. Pour certaines compagnies low cost, le kilomètre se tarifie à un euro, de quoi convaincre les plus sceptiques.

Conclusion

Il est tout à fait possible de bénéficier des services d’un taxi sans avoir à se ruiner. Les techniques ci-dessous peuvent être utilisées à cette fin. Il faut souligner que, malgré la présence des VTC actuellement, les taxis restent encore nombreux en ville. De plus, beaucoup de personnes les préfèrent pour leur aspect pratique et leur discrétion. Les taxis ont encore de beaux jours devant eux, alors autant en profiter aux meilleurs prix.

5 objets de sécurité pour être à l’abri chez soi

5-objets-de-securite-pour-etre-a-labri-chez-soi-2Les statistiques affirment que plus de 400 000 cambriolages s’effectuent chaque année. Ce nombre en croissance oblige les gens à consacrer un budget conséquent à la sécurité de leur domicile, propriété. Quelques objets sont à acquérir rapidement pour sécuriser une demeure.

Objet n° 1 : Une alarme

Qui dit sécurité domestique sous-entend système d’alarme. Ce dispositif existe aujourd’hui en version sans fil. Que ce soit pour gêner les malfaiteurs durant leurs méfaits, ou pour se protéger d’une éventuelle intrusion, un système d’alarme se révèle efficace dans la majorité des cas. Plusieurs types d’alarme existent auprès des revendeurs  et il suffit de les installer dans les endroits à risque d’infraction de la maison (porte, fenêtre). Certains modèles comprennent un transmetteur d’appels qui avertit par téléphone le propriétaire ou la police.

Objet n° 2 : Un dispositif d’éclairage aléatoire

Il faut souligner qu’un éclairage fort dissuade les cambrioleurs, puisque les malfaiteurs préfèrent opérer dans l’ombre. Le principal avantage du système aléatoire est que le cambrioleur ne peut pas prévoir avec précision l’allumage et l’extinction des lumières. Du coup, essayer de cambrioler devient plus risqué, par peur de se faire surprendre. Qui plus est, ces dispositifs intègrent une fonction de programmation. En d’autres termes, le propriétaire a la possibilité de paramétrer la durée de chaque éclairage, la période précise durant laquelle l’éclairage aléatoire s’effectue (de 15 à 18 h, par exemple).

Objet n° 3 : Le simulateur de présence

Comme son nom l’indique, le simulateur de présence va faire croire aux malfaiteurs une présence dans la maison, ce qui n’est bien sûr pas le cas. Le simulateur s’utilise surtout lorsque la maison reste inoccupée pendant un certain temps. Bien qu’ils soient absents, les propriétaires n’ont qu’à mettre en marche le simulateur pour donner l’illusion d’être présents dans une pièce. Le dispositif simule notamment la marche et l’arrêt d’une télévision, les va-et-vient dans une pièce, ou l’éclairage.

Objet n° 4 : Les caméras

Les caméras peuvent être considérées comme des objets de sécurité. En effet, les caméras ne se limitent pas à filmer, elles enregistrent également tout ce qui se trouve dans leur champ de vision. En outre, de nombreux systèmes de vidéosurveillance transmettent en temps réel les images des caméras vers les propriétaires, si ceux-ci sont absents. Il faut par ailleurs préciser que les caméras ne se limitent pas uniquement à sécuriser une habitation. Les images obtenues peuvent servir à la recherche des malfaiteurs.

Objet n° 5 : Une porte blindée ou renforcée

Les études montrent que la majorité des cambrioleurs empruntent la porte d’entrée pour pénétrer dans une maison. De ce fait, disposer d’un bloc-porte blindé augmente largement la sécurité. En effet, les cambrioleurs expérimentés auront du mal à forcer une porte blindée. Cela va leur prendre un certain temps pour briser la résistance de la porte. Toutefois, une porte blindée coûte cher. Une serrure renforcée et des gonds anti-intrusion peuvent suffire dans un premier temps. Par ailleurs, une porte renforcée ou blindée doit aller de pair avec des fenêtres sécurisées.

Taxi ou VTC ? 5 conseils pour bien choisir

taxi-france-vtc-duel-5353176Aujourd’hui, se décider entre les VTC et les taxis fait hésiter de nombreuses personnes. Ces quelques conseils peuvent aider à prendre une décision.

Conseil n°1 : Evaluer son budget

Bien que proposant fondamentalement le même service, les tarifs varient largement entre un taxi et un VTC. Il faut rappeler que les taxis traditionnels basent leurs tarifs sur le taximètre et celui-ci dépend de la longueur du trajet. De son côté, les VTC proposent un forfait ou une tarification au kilomètre. Dans la pratique, les taxis restent plus abordables que les VTC. Toutefois, avec ces derniers, le tarif du trajet est connu d’avance et sauf détour réclamé par le passager, le chauffeur ne pourra pas exiger de frais supplémentaires au client.

Conseil n°2 : Définir la prestation à l’avance

Si le client désire une prestation précise, il pourra aisément choisir entre un déplacement en VTC ou en taxi. Dans la plupart des cas, si le passage ne cherche qu’à se rendre d’un lieu à un autre, un taxi fera parfaitement l’affaire. Sinon, pour une prestation particulière, les VTC représentent l’alternative la plus intéressante. Tout est défini dans un cahier des charges auquel le chauffeur est tenu de se conformer. Cela peut aller du simple chauffeur au garde du corps, en passant par la fonction de guide.

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Conseil n°3 : Choisir en fonction de l’endroit

Il faut remarquer que certains endroits sont spécialement dédiés aux taxis : parking, stationnements. De plus, les taxis restent plus nombreux en ville. Par conséquent, quel que soit le lieu où se trouve l’utilisateur, il aura de plus grandes chances de trouver un taxi. Toutefois, avec le progrès technologique actuel, il est possible de se renseigner sur la proximité d’un VTC à partir d’un téléphone portable. Néanmoins, il lui faudra attendre un petit moment avant de prendre place dans une voiture dans ce cas.

Conseil n° 4 : Choisir en fonction des services annexes

De ce point de vue, force est d’admettre que les VTC proposent plusieurs services annexes. Durant le trajet, l’utilisateur aura à sa disposition des magazines, des bouteilles d’eau ou des bonbons. Selon la voiture, il est même possible de recharger son téléphone portable. Concernant le taxi, il ne propose presque pas de services annexes. Evidemment, les services annexes sont compris dans le tarif du VTC, ce qui le rend un peu plus cher. Conseil n°5 : choisir en fonction de l’impression à donner

Un taxi ne fait pas de distinction. Quel que soit son statut social, le passager devient un « monsieur Tout-le-monde » dans un taxi. En d’autres termes, le taxi garantit la discrétion du client. Pour sa part, le passager qui réclame plus de prestige choisira les VTC, chauffeur en smoking et voiture de luxe seront à sa disposition.

5 conseils pour payer moins cher votre mutuelle


la-santeLa souscription obligatoire à une assurance est stipulée par la loi. Toutefois, une affiliation à une mutuelle de santé est recommandée à tout travailleur, pour couvrir les aléas non intégrés dans son assurance maladie. Les avantages de cette affiliation sont nombreux et vitaux pour de nombreux patients : prise en charge des lentilles optiques, des soins dentaires, des certains frais d’hospitalisation, … Cependant, comme la cotisation à payer augmente vos charges mensuelles, il est judicieux de faire une analyse préalable des différentes offres rencontrées. Les quelques conseils qui suivent vous permettront de payer moins cher votre mutuelle.

Conseils n°1 : Faites appel à un courtier

Toujours dans ce même ordre d’idée, vous pouvez vous offrir les services d’un courtier. Celui-ci dispose d’un réseau de professionnels et il pourra vous conseiller sur l’organisme le plus avantageux. En plus de l’offre la plus abordable, les mutuelles en question accordent un service personnalisé aux courtiers, et clients peuvent bénéficier de ce service, en fonction de leurs besoins et possibilités. Autrement dit, le rapport qualité/prix est garanti. Il va sans dire que si le courtier est une personne avec un portefeuille client plus fourni, son client aura plus de choix.

Conseil n°2 : Faites jouer la concurrence

Plusieurs comparateurs d’assurances font une estimation des possibilités d’assurances que vous pouvez souscrire. Ces comparateurs mettent en avant les offres des prestataires qui collaborent avec eux. Il faut noter que chaque comparateur donne des résultats différents. Ainsi, vous devez confronter les comparateurs entre eux pour solliciter la meilleure proposition. Pour faciliter votre choix, privilégiez les comparateurs qui s’occupent essentiellement des mutuelles de santé. Ces comparateurs prennent en compte votre état civil, vos besoins, entre autres, pour établir une estimation.

Conseils n°3 : Souscrivez au bon moment

Les promotions et les réductions vont et viennent périodiquement. Elles peuvent s’étendre sur un ou plusieurs mois. Les meilleures offres arrivent sur le marché vers dans les derniers mois de l’année ou les périodes estivales. Cela s’explique par le fait que ces périodes coïncident par la conclusion ou la fin de contrats. En outre, toute nouvelle situation professionnelle ou personnelle peut nécessiter la souscription d’une nouvelle mutuelle ou de la modification d’une mutuelle existante : promotion professionnelle, changement d’emploi, déménagement, situation matrimoniale nouvelle (mariage, divorce). L’important est que vous soyez couvert en permanence pour parer à toute éventualité. De plus, vous pouvez bénéficier chez certaines mutuelles, d’une diminution de la cotisation après quelques mois.

Conseils n°4 : Précisez votre situation familiale

Les mutuelles, avant de vous faire signer un contrat, étudient en détail votre dossier. Ainsi, pour payer le moins cher possible, il faut clairement définir votre situation familiale. En effet, des réductions sont possibles pour les personnes mariées, les seniors,  les personnes avec charges. Les couples mariés bénéficient  en général d’une diminution de la cotisation s’ils effectuent une demande. Si vous avez des enfants en charge, la mutuelle pourra accepter votre de demande de réduction sur les cotisations de vos enfants. Dans le cas où vous êtes âgé de plus de 50 ans, la mutuelle pour les seniors vous conviendra le mieux.

Certaines mutuelles font profession de ne s’occuper que des seniors et adaptent leurs offres en fonction de ces derniers. Enfin, lors de vos déménagements, n’oubliez pas de communiquer vos nouvelles coordonnées à votre mutuelle.

Conseils n°5 : Mettez en avant votre situation professionnelle

Il va sans dire qu’une mutuelle pour un cadre ne correspondra pas, à titre d’exemple, à une mutuelle pour étudiant. Vu qu’un étudiant ne perçoit pas encore de revenus fixes, la cotisation qu’il paiera sera moins élevée. Si vous êtes un TNS ou Travailleur Non Salarié, vous pouvez jouer sur la loi Madelin pour réduire votre cotisation. Vous pouvez bénéficier d’une mutuelle santé, même si vous êtes au chômage. La Loi Evin a prévu cette circonstance. Dans ce cas, votre mutuelle devient une mutuelle « chômage », s’étalant sur une durée n’excédant pas 3 trimestres. Enfin, les personnes qui vivent avec des revenus restreints trouveront des mutuelles correspondant à leurs appointements limités.

En résumé, pour payer moins cher votre mutuelle, vous devez procéder en amont à une prospection et à une comparaison des mutuelles. Pour ce faire, vous pouvez recourir à un courtier. Il est important également de bien définir la période où vous signez pour une mutuelle. Enfin, de votre situation professionnelle ou personnelle dépend le type et le montant de la mutuelle que vous aurez.

80 % des cambriolages pourraient être évités avec l’installation d’une alarme

cambriolages-pourraient-etre-evites-avec-linstallation-dune-alarmeLe cambriolage demeure une expérience traumatisante pour les victimes. Toutefois, les études montrent que 80 % des cambriolages pourraient être évités, rien qu’avec une installation d’alarme. Ainsi, la mise en place d’une alarme au sein d’une maison se justifie davantage actuellement. Il faut souligner qu’un système d’alarme n’est pas uniquement mis en place à titre préventif, il peut être installé également à des fins dissuasives.

Installation d’un système d’alarme à titre préventif

Il n’est pas rare que les personnes qui installent les systèmes d’alarme soient en majorité des personnes ayant vécu un cambriolage. Cependant, s’équiper d’une alarme à titre préventif peut s’avérer judicieux. En premier lieu, la présence d’un système d’alarme peut de prime abord freiner l’attitude des cambrioleurs. Ensuite, comme les cambriolages se passent souvent lorsque les propriétaires ne demeurent pas dans la maison, la présence d’une alarme diminue les risques. En effet, les alarmes peuvent être reliées à distance, aux propriétaires qui prendront les mesures adéquates dès qu’une intrusion se prépare. Aujourd’hui des alarmes couplées à un système de vidéo surveillance préviennent les propriétaires ou les voisins qui peuvent décider d’envoyer un personnel de sécurité, ou de prévenir la police. Dans la pratique, les alarmes intègrent un transmetteur téléphonique qui signale le propriétaire en temps réel, dès qu’une tentative d’effraction est détectée. Évidemment, pour garantir son efficacité, un système d’alarme doit être mis en place par des professionnels, sur des points stratégiques de la maison, comme les portes et les fenêtres.

Installation d’un système d’alarme à des fins dissuasives

Un système d’alarme mis en place à titre préventif diminue les risques de se faire cambrioler. Toutefois, un système peut servir à gêner les cambrioleurs en action également, ou à les faire rebrousser chemin. Les alarmes anti-intrusion remplissent cette fonction de dissuasion. Celles-ci se caractérisent par la présence de détecteurs de mouvements, d’une sirène et d’un dispositif fumigène. Les détecteurs de mouvements s’installent principalement près des ouvertures (portes, fenêtres), pour prévenir le propriétaire de tout déplacement suspect dans la maison. L’efficacité de la sirène a été éprouvée. En effet, le déclenchement soudain et très bruyant d’une sirène fait fuir la plupart des cambrioleurs. Qui plus est, une alarme sonore ne va pas seulement alerter les occupants de la maison, le bruit informera également le voisinage de la présence d’un intrus. Enfin, le dispositif fumigène émet une fumée opaque pendant quelques instants, ce qui incommodera le cambrioleur et le poussera à s’enfuir. D’autres alarmes proposent des dispositifs à gaz ou inondant pour empêcher les cambrioleurs de continuer leurs méfaits. Bien entendu, pour garantir le maximum d’efficacité d’une alarme, elle doit être mise en place par un professionnel ou selon les conseils de celui-ci.

Bref, s’équiper d’un système d’alarme contribue grandement à se protéger des cambriolages. Concrètement, que ce soit pour dissuader les malfaiteurs ou pour limiter les risques d’intrusion, une alarme est un atout majeur de la sécurité de la maison. Qui plus est, à côté des anciens systèmes d’alarme filaire, il existe actuellement des alarmes sans fil. De plus, ces dernières ont l’avantage de s’intégrer parfaitement à la décoration de la maison.

5 conseils pour bien choisir votre sommier et bien dormir

5-conseils-pour-bien-choisir-votre-sommier-et-bien-dormir-2Pour un moment de relaxation parfaite, rien ne vaut un bon sommeil. Par ailleurs, tout dépend du confort de votre literie. Avec les différents types de sommiers en vente sur le marché, chacun peut choisir celui qui est le plus adapté à sa literie et qui lui procure plus de confort. Afin de bien dormir, voici 5 conseils pour bien choisir son sommier.

1. Choisir un modèle adapté au matelas

Comme le sommier conditionne le confort et la durée de vie des matelas, votre sélection doit se faire en fonction de vos besoins. Le sommier à lattes est un bon choix, surtout si votre matelas est en latex ou en mousse. Il améliore l’aération, le confort et la longévité du matelas. Pour ceux qui détiennent des matelas en bultex ou à ressorts, le sommier à ressort ou sommier de relaxation à ressort est plus adapté.

2. Choisir en fonction du design et du confort

Pour une literie très design, le sommier tapissier est un choix parfait. Le concept allonge la durée de vie des matelas. Quant au sommier de relaxation, il est modulable manuellement ou avec un moteur électrique, et existe en modèle à plots, à lattes et à ressorts. Pour un sommeil confortable, le sommier à plots est le meilleur. Il absorbe 1/3 du poids et des mouvements du dormeur. Il est idéal surtout pour ceux qui sont souffrants de mal de dos.

3. La qualité de soutien et la hauteur du sommier

La santé du corps et le confort du dormeur dépendent de la qualité de soutien du sommier. Vous devez donc choisir votre sommier en fonction de votre taille, de votre poids ainsi qu’en fonction de la santé de votre dos. Pour bien dormir, il est conseillé de choisir un sommier ayant un excellent soutien, de manière à ce qu’il maintienne votre corps en harmonie avec le matelas. Entre autres, vous devez privilégier le sommier plus haut pour éviter le problème de cambrure du dos, lorsque vous vous assoyiez.

4. Choisir en fonction de la matière utilisée

Pour ceux qui sont allergiques ou sensibles à la poussière, aux plumes, à la poussière ou aux acariens, l’idéal est de choisir des sommiers à lattes. En effet, ils assurent une aération maximum des matelas. Visez également que le matelas contienne de garnissage traité ou antibactérien.

5. Choisir en fonction du budget

Le sommier assure la bonne tenue de votre literie, pour garantir le confort du sommeil. Par ailleurs, tout est question de prix. Faites une comparaison. Le sommier de relaxation est le plus cher, vu qu’il assure un confort ultime. Les prix varient entre 1500 à 4 000 €. En cas de budget restreint, il est préférable de choisir les sommiers à lattes ou à ressorts, dont le prix démarre de 100 € à 1500 €. Pourtant, le prix dépend de l’équipement, de la marque, du modèle et de la qualité.

Conseils pour contester les Procès-verbaux automobile

conseils-pour-contester-les-procc3a8s-verbaux-automobile-5216081Les procès-verbaux automobiles font partie des injonctions les plus contestées. En effet, peu de gens sont disposés à payer les amendes fixées par ces dernières. Le présent article donne quelques conseils pour contester efficacement les procès-verbaux.

Démentir la présence au volant

Généralement, un procès-verbal s’accompagne de justificatifs comme une photo pour confondre le contrevenant. La plupart du temps, les photos prises par les radars sont floues, ce qui joue en la faveur du conducteur. Dans le cas où la photo ne permet pas d’affirmer avec exactitude l’identité de conducteur, une contestation est toujours possible. Pour le cas d’un véhicule volé, il est impératif de se munir d’une déclaration de vol pour contester le procès-verbal. Si le véhicule a été vendu, un acte de cession en bonne et due forme fera l’affaire. Dans certains cas, d’autres justificatifs prouveront l’improbabilité de la présence de la personne en question : billets d’avions, factures d’hôtels, …

Vérifier la conformité du procès-verbal

Normalement, un procès-verbal qui n’est pas rempli peut faire l’objet d’une contestation. Les points suivants sont ceux sur lesquels surviennent souvent les erreurs : le numéro d’immatriculation du véhicule, la date de l’infraction, la signature du verbalisateur, et la localisation exacte de l’infraction. Un procès-verbal est également contestable s’il y a une erreur sur la vitesse indiquée, ou quand le radar n’est pas indiqué clairement.

Porter son attention sur le retrait des points du permis

La plupart des infractions sont passibles de retrait de points sur un permis de conduire. Toutefois, avant de procéder à ce retrait, l’agent verbalisateur est tenu d’informer le contrevenant de la procédure. Dans le cas contraire, le retrait de points effectif sera annulé. Le retrait de points sera notifié dans le permis de conduire ou sur le procès-verbal délivré.

Se rendre sur les sites spécialisés

Actuellement, plusieurs sites viennent en aide aux personnes souhaitant contester leurs procès-verbaux pour infraction sur la route. Selon le cas, ils proposent de rédiger directement un exemplaire de lettre de contestation correspondant au procès-verbal contesté (retrait de points ou amende). Sinon, ils proposent des lettres types de contestation que le contrevenant pourra utiliser.

Accorder une attention particulière aux amendes majorées

Il est possible, en cas d’amendes majorées, de contester celles-ci, si le contrevenant n’a pas eu connaissance de l’amende initiale. Dans ce cas, il doit être en mesure de prouver le fait qu’il ignore l’existence d’une amende originale. Tout justificatif d’absence est recevable : billet d’avions, factures d’hôtels, acte de vente, déménagement, …

Conclusion

En résumé, contester un procès-verbal et éviter le retrait de points est tout à fait possible. En général, une contestation appuyée par des justificatifs a plus de chances d’aboutir. Autrement dit, les contestations doivent être conformes aux dispositions légales, pour être recevables. Enfin, si le contrevenant reconnaît ses torts et est disposé à payer, il pourra bénéficier d’une minoration de celle-ci, si elle est acquittée dans les 72 heures qui suivent la verbalisation. Évidemment, une amende payée au-delà du délai légal se verra majorée d’une pénalité de retard.

Les infractions automobiles : combien de points pouvez-vous perdre ?

Les permis à points sont apparus dans le but de limiter les accidents de la route. Il faut rappeler que lorsque tous les points d’un permis sont retirés, celui-ci devient nul. Il peut être judicieux de résumer en quelques lignes les infractions automobiles et le nombre de points à perdre correspondant. Toutefois, il faut rappeler que le cumul des points à enlever en cas d’infractions multiples ne dépasse pas les 8 points.

Les infractions coûtant 6 points

Un automobiliste peut perdre jusqu’à six points d’un coup sur son permis en commettant une des exemples d’infractions suivantes : conduite en état d’ivresse manifeste, conduite sous l’effet de stupéfiants et d’autres substances illicites, tout comme l’homicide involontaire. Le refus d’obtempérer aux autorités compétentes, le délit de fuite, l’utilisation de fausses plaques et de faux papiers, ainsi qu’un délit de fuite, peuvent également faire perdre jusqu’à 6 points sur un permis de conduire. Enfin, même cas pour tout automobiliste qui refuse de passer un alcootest, tout chauffeur conduisant un véhicule dont le permis fait l’objet d’une suspension, et tout conducteur dépassant de plus de 50 km/h la vitesse autorisée.

Les infractions coûtant quatre points

Les infractions ci-après entraînent quant à elles, un retrait de quatre points sur un permis de conduire : la circulation en sens interdit, le non-respect du panneau « Stop », du feu rouge, ou d’un clignotant. Tout dépassement compris entre 40 et 50 km/h de la vitesse maximale autorisée, la circulation en sens inverse ou la marche arrière sur une autoroute. Puis, tous les conducteurs qui circulent en visibilité réduite pour brouillard ou dans la nuit, sans éclairage, tous les conducteurs ne voulant pas céder le passage à des piétons qui désirent s’engager sur la chaussée, peuvent s’attendre tous à perdre quatre points sur leur permis, une fois arrêté par la police.

Les infractions coûtant trois points

L’usage d’un téléphone pendant la conduite, la circulation sur le côté gauche de la chaussée ou sur les bandes d’arrêt d’urgence, tout dépassement, stationnement ou arrêt dangereux, sont passibles d’un retrait de trois points sur le permis de conduire. En cas de stationnement sans éclairage dans un lieu où la visibilité est réduite, omission du port de ceinture de sécurité, dépassement de la vitesse autorisée de 30 à 40 km/h, feront perdre trois points, suite à un contrôle. D’autres cas comme le non-respect des distances de sécurité, le changement de direction sans signalement, le fait d’outrepasser les restrictions du permis est également passible d’un retrait de trois points sur le permis de conduire.

Les infractions coûtant 2 points et de 1 point

Certaines infractions comme le refus d’être dépassé, le stationnement et la circulation sur le centre de la chaussée, et un dépassement de la vitesse maximale autorisée comprise entre 20 et 30km/h entraînent une perte de deux points sur le permis. Le dépassement de moins de 20 km/h de la vitesse maximale autorisée et le chevauchement d’une ligne continue coûte un point sur le permis.

Il faut tout de même rappeler que des dispositions légales fixent des modalités pour récupérer les points perdus.